Il ne fait jamais nuit (Critique)


Il ne fait jamais nuit

De : Juliette MOLTES

Mise en scène : Juliette MOLTES

Chorégraphies : Sébastien SALARDENNE THEODON

Scénographie : Olivier PROST

 

Assistante équipe : Line ANCEL

 

Affiche : Pascal LACOSTE

 

Avec :

En attente d’une nouvelle programmation

Dans Il ne fait jamais nuit, soyez prêt à être pris par une véritable de choc. Une frappe nucléaire : comme un champignon atomique, l’émotion va grandissante pour exploser complètement à son point culminant.

On est bluffé par le jeu, par le talent aiguisé de cette énorme troupe de comédiens. Ils nous amènent dans leur univers. On vit le moment avec eux de façon stupéfiante. Chacun à sa façon apporte la pierre à l’édifice par une précision inratable. Ils sont solaires mais deux d’entre eux portent le jeu à un niveau intergalactique au point même que certains comédiens célèbres ne les égalent pas : Hugo FIESS et Paul LABOURGADE. Pour ce dernier, on peut même affirmer qu’il tutoie les anges.

On observe dans cette pièce beaucoup de richesse. Richesse artistique et richesse de cœur. Pas étonnant qu’ils donnent autant. La sensibilité que dégage le texte est effarante et tient sa place dans la réussite de l’œuvre.

La maturité, le nombre, la jeunesse, les caresses alternée d’uppercuts des comédiens mais aussi le visuel, les chorégraphies, la thématique vous coifferont au poteau.

Il aura fallu attendre le mois de juin pour avoir notre premier triple coup de cœur de l’année sur un spectacle français.

L’histoire

Il ne fait jamais nuit explore un univers, celui d’une jeunesse précipitée malgré elle dans une chute vertigineuse.

Ils sont amis, amoureux, frères ou soeurs. Ils sont un groupe, fait de chemins singuliers, de rêves et de légèreté. Ils seront pourtant confrontés à l’insoutenable, un drame qui va bousculer leur existence toute entière.

Ensemble, ils vont traverser une épreuve où chacun devra trouver les ressources pour s’en sortir, se relever ou s’effondrer. Il ne fait jamais nuit explore un univers, celui d’une jeunesse précipitée malgré elle dans une chute vertigineuse.

 

Credit Photo : Dimitri Klosowski

 

 

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Aurélien.

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