Le Secret de Sherlock Holmes
de : Christian CHEVALIER et Christophe GUILLON
Mise en scène : Christophe GUILLON
Costumes : Héloïse FOURNIER assistée de Clara DRUMEZ
Collaboration artistique : Renato RIBEIRO
Avec :
Hervé DANDRIEUX, Christophe GUILLON, Emmanuel GUILLON, Laura MARIN et Didier VINSON
Du 14 avril au 2 juillet 2022
Cette enquête menée par Sherlock Holmes comporte tous les ingrédients d’une intrigue à la Conan DOYLE. Des indices à chercher pour le public qui sait certaines choses comme l’auteur de l’assassinat et le mobile mais pas comment les enquêteurs vont se dépatouiller de cette enquête. Les personnages ne manquent pas de nous faire rire. On trouvera également quelques scènes sanguinolentes… On a, là, une pièce qui mène policier et humour avec brio.
On pourrait parler d’adaptation mais il n’en est rien. L’auteur s’est emparé des noms créés par Conan DOYLE, de la distinction bien anglaise des héros mais pour le reste, c’est bel et bien une création. Celle-ci nous emmène aux origines de la rencontre entre le détective et le docteur Watson. C’est là que naîtra le tandem de la rue Baker Street dont l’évocation n’est pas anodine. On retrouvera le flegme anglais au travers de Sherlock mais aussi toute une répartie de sa part qui font tout le sel du spectacle.
Le texte est riche de jeux de mots mais aussi de styles de théâtre bien différents pour petits et grands spectateurs. La mise en scène est soignée avec un décor plein de détails amusants et/ou importants.
Une pièce sous forme d’enquête qui se joue comme un escape game bien « funny » auquel on participe inconsciemment.
L’histoire
Londres, 1881… Sherlock, qui n’est pas encore le grand Holmes, et le docteur Watson, qui deviendra son fidèle complice, sont sollicités par l’inspecteur Lestrade de Scotland Yard pour mener à bien une épineuse enquête. Un cadavre a été découvert sur les bords de La Tamise… C’est du reste cette affaire qui liera à jamais le destin des deux hommes et les fera entrer dans la légende.
BILLETTERIE
SITE OFFICIEL
Aurélien.
Comments
Une cruelle déception, pour ne pas dire une nullité absolue. Une honteuse trahison de l’œuvre de Conan Doyle, qui ne sert ici que de véhicule à de grossières pitreries. Incroyable qu’une telle pièce trouve un aussi large public.